CAPTON expose à La Galerie de Mortagne au Perche ses nouvelles peintures sur le cheval percheron
jullien

24ème Route des Ateliers
Prochaines Portes Ouvertes dans nos ateliers les 10 et 11 juin 2017 ! Venez nombreux nous rencontrer sur nos lieux de travail !
INFO
vendredi 26 octobre 2012
dimanche 1 juillet 2012
SOIRÉE D'ARTISTES
Les artistes de LA ROUTE DES ATELIERS se sont retrouvés chez l'artiste Mathilde MILLOT pour fêter le très beau succès de la 15éme édition.
samedi 9 juin 2012
L'ATELIER DU PEINTRE PSYKO
Ce week-end, venez découvrir les oeuvres du peintre PSYKO à son atelier, 25 rue de Pontcour 45650 Saint Jean le Blanc de 14H à 19H.
L'ATELIER DU DRAGON
L'ATELIER DU DRAGON, 6 rue du petit château La Chapelle St Mesmin , de Pascal JULLIEN ouvre ses portes dans le cadre de LA ROUTE DES ATELIERS samedi 9 & dimanche10 juin 2012 de 14h à 19h.
L'ATELIER CAPTON
CAPTON ouvre son atelier, 3 place Saint Charles 45100 Orléans, pour LA ROUTE DES ATELIERS de 14h à 19H ce week-end.
vendredi 8 juin 2012
ARTISTES DE LA ROUTE DES ATELIERS
jeudi 7 juin 2012
mercredi 6 juin 2012
mardi 5 juin 2012
lundi 4 juin 2012
REPAS D'ARTISTES
Repas des artistes de LA ROUTE DES ATELIERS à l'Orangerie du Jardin des plantes d'Orléans pendant le week-end du 2 & 3 juin 2012.
dimanche 3 juin 2012
samedi 2 juin 2012
VISITE DE M. SERGE GROUARD LORS DU VERNISSAGE DE LA ROUTE DES ATELIERS
Nous avons accueilli de nombreux visiteurs lors du vernissage de la 15ème ROUTE DES ATELIERS. Lors de cette soirée, Monsieur Serge GROUARD Député du Loiret, Maire d'Orléans s'est longuement entretenu avec les artistes présents.
De gauche à droite : Claire Boris, Serge Grouard, Colette Grande, Pascal Jullien, André Quétard, Mathilde Millot.
L'exposition est ouverte au public samedi 2 et dimanche 3 juin de 10h à 19h, à l'Orangerie du Jardin des Plantes d'Orléans. Entrée libre.
Libellés :
andré quétard,
claire BORIS,
Colette Grande,
LRDA,
mathilde millot,
pascal JULLIEN,
Serge Grouard,
vernissage
Pays/territoire :
Place du Jardin des Plantes, 45100 Orléans, France
vendredi 1 juin 2012
VERNISSAGE DE LA 15ème ROUTE DES ATELIERS
Vernissage de la 15ème ROUTE DES ATELIERS ce soir vendredi 1er juin à 18h à l'ORANGERIE DU JARDIN DES PLANTES D'ORLEANS, avenue de Saint Mesmin 45100 ORLEANS (SAINT MARCEAU).
Exposition collective des artistes de LA ROUTE DES ATELIERS à l'ORANGERIE DU JARDIN DES PLANTES samedi 2 et dimanche 3 juin de 10h à 19h, entrée libre.
Renseignements : Pascal JULLIEN 06 78 12 64 03
Libellés :
LRDA,
vernissage
Pays/territoire :
Place du Jardin des Plantes, 45100 Orléans, France
mardi 8 mai 2012
LA 15ème ROUTE DES ATELIERS
Les 9 & 10 juin, de 14h à 19h, de Meung-sur-Loire à Saint-Jean le Blanc, en passant par Saint-Ay, La Chapelle Saint-Mesmin, Saint-Jean-de-la-Ruelle, Ingré et Orléans, cette 15ème édition de LA ROUTE DES ATELIERS vous propose une nouvelle fois de découvrir ou redécouvrir, sur leur lieu de travail, des artistes qui ont choisi de vivre et d’exercer pleinement leur art dans la région du Val de Loire Orléanais. Ils exercent dans différents domaines, dans différents styles, et donnent à voir quelques facettes de l’art vivant d’aujourd’hui.
En préambule à cette 15ème ROUTE DES ATELIERS les artistes vous invitent à un vernissage commun le vendredi 1er juin 2012 à 18h à la serre du Jardin des Plantes d’Orléans, suivi d’une exposition collective les 2 & 3 juin de 10h à 19h. Vous pourrez y rencontrer les artistes, découvrir quelques oeuvres, et composer, selon vos préférences, le programme de votre ROUTE DES ATELIERS du weekend suivant.
mardi 21 février 2012
samedi 10 décembre 2011
EXPOSITION À LA MONNAYE DE MEUNG SUR LOIRE
ALLOCUTION DE MONSIEUR LE GALLO, LORS DU VERNISSAGE DE LA ROUTE DES ATELIERS À LA MONNAYE :
On pourrait croire que les quatorze ateliers d’artistes ouverts au long d’une route qui va de Saint-Jean le Blanc et Ingré à Baule composent comme un salon de l’Orléanais, dispersé et perlé au long de notre beau fleuve de Loire : on aurait là les avantages du regroupement, de la concentration des talents, au sein d’un groupe qui s’est coopté et s’éprouve deux fois l’an d’une véritable connivence artistique - et ceux de la diffusion, de la discontinuité qui oblige au voyage, à la relance, distendant le parcours trop resserré de la salle d’exposition, et allongeant le pas du promeneur. En ce sens, on pourrait voir dans cet accrochage de La Monnaye comme un concentré, un abrégé, la forme réduite du grand salon de ce week-end.
Ce serait une erreur : en fait la visite d’atelier est à peu près le contraire de celle du salon, puisque vers celui-ci l’artiste « envoie », c’est le terme technique, son œuvre pour la soumettre très officiellement, sinon à son approbation, du moins à son regard intéressé. Et cet « envoi » est le plus souvent une œuvre finie, en tout cas arrêtée : elle doit passer pour telle. Dans un salon, c’est l’œuvre qui va au spectateur.
L’atelier est tout autre chose : le passant s’y introduit, s’y glisse dans l’intimité de l’artiste, on n’est plus dans l’espace public mais dans le privé, et le plus exclusif qui soit, celui d’un créateur. Du coup, en l’ouvrant au passant, ce dernier n’expose plus son œuvre, il s’expose lui-même. Cette prise de risque assumée, cette indiscrétion de l’intrus, acceptées de part et d’autre et très provisoirement convenues, n’est pas pour rien dans le plaisir de la visite. On espère surprendre l’artiste au cœur de son travail, on se prend à espérer voler quelque secret : chaque visiteur d’atelier se sent un peu comme Prométhée volant le feu aux immortels.
Et puis dans un salon le travail accompli s’exhibe, alors que dans l’atelier il hésite encore, se cherche, loin de toute certitude et de tout triomphe prématuré. Il ne se contemple pas, il se fait, et le passant le surprend dans son origine, au lieu de l’admirer dans son aboutissement. La fondamentale timidité de l’œuvre qui ne s’est pas encore trouvée s’offre à un regard plus scrutateur qu’appréciateur, plus curieux qu’impressionné, le spectateur se fait ici voyeur : il n’est pas vraiment à sa place, ce lieu n’est pas le sien, contrairement au salon, où il règne.
Mais en même temps, plus que dans le salon cette intimité forcée dépouille le tableau, la sculpture de la neutralité conventionnelle qu’ils acquièrent en s’accrochant aux cimaises ou en se posant sur un socle : un lien plus étroit peut s’établir avec l’objet, parce qu’il paraît plus brut, plus authentique, plus originel en somme, mais aussi moins public, moins partagé, support provisoire d’une complicité entre l’artiste et son admirateur. Et entre ce lieu, l’atelier, d’où il faudra bien que l’œuvre sorte (comme il faut bien que l’enfant vienne au jour), et cet autre, le salon, dont le décorum la désamorce toujours un peu et la recouvre d’une sorte de vernis protocolaire, s’en ouvre tout naturellement un troisième, celui où le visiteur pourra enfin se l’approprier, toute pleine encore des sentiments qui se seront esquissés et joués sur elle, où il pourra à loisir reconstituer en la contemplant ce moment d’exception : un espace tout aussi privé que l’atelier, et ouvert comme lui à quelques privilégiés ravis, la demeure du collectionneur.
C’était vous l’avez compris, mesdames et messieurs, et pour parler plus net, ma façon à moi de souhaiter, aux amateurs, de passionnantes expéditions dans tous ces lieux de création, et aux artistes, de fructueuses portes ouvertes !
dimanche 4 décembre 2011
samedi 3 décembre 2011
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